• Atelier du jeudi 16 Mai

    A l’arrivée, surprise : la hauteur d’herbes folles rendait difficile l’ouverture du portail !

    Pour avoir une idée de cette luxuriance, voici la lasagne que nous avons « abandonnée » aux butineurs !

     

    Les outils efficaces de nos jardiniers nous ont permis d’accéder aux lasagnes pour … les désherber avant de planter.

    La première lasagne désherbée laisse apparaître un rang d’oignons : on ne pourra pas y cultiver de

    solanacées, puisqu’elle a été occupée par des tomates l’an dernier.

    Dans les autres : on a gardé des plans de blettes qui vont grainer et on a planté des tomates, des choux kale

    et des salades. 

    Dans le carré où est expérimenté la plantation de pommes de terre sous broyat, ce sont les topinambours qui se sont « réveillés » alors que nous les pensions disparus et ils sont bien dominants ! Aurons-nous des

    pommes de terre au goût de topinambours ?

    Deux caisses ont reçu des courges trompettes «Trombolina d’Albenga »

    Au départ, le jardin avait retrouvé un aspect plus « civilisé » où les fleurs des lavandes et des phlomis

    étaient prises d’assaut par les abeilles et les bourdons. 

     

    COMPTE RENDU DE LA DISCUSSION CONCERNANT L’AVENIR DE L’AMARANTE

    Un constat :
    Nous étions 17 inscrits au départ en 2013 et depuis quelque temps le nombre de présents réguliers tourne autour de cinq ou six environ.

    Un atelier tous les quinze jours ne permet pas d’assurer le suivi de nos expériences. Et la tache importante d’entretien et de désherbage est devenue décourageante !

    Proposition retenue :

    La mairie n’a pu satisfaire toutes les demandes de jardins communaux : il y aurait une liste supplémentaire.
    Si, parmi ces demandeurs, certains étaient intéressés par le jardinage naturel et la permaculture, nous pourrions leur céder cet espace qu’ils cultiveraient et dont ils récolteraient les produits. 
    Notre rôle serait de les informer au départ, et d’y mener éventuellement des expériences. C’est à discuter…

    Donc : il nous reste à prendre contact avec la mairie et à discuter avec la personne en charge des jardins communaux.

     

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